Austin Walkin' Cane
Carrefour du blues en Sumène Artense
Concert à Champs sur Tarentaine, dimanche 9 juin - Week-end de la Pentecôte
Photo : Jef Janis
"If you like Muddy Waters, go see Austin Walkin Cane." (Si vous aimez Muddy Waters, allez voir Austin Walkin Cane) écrit le Washington Post.
Austin Walkin Cane nous vient de Cleveland dans l'Ohio. Atteint d'une malformation de naissance, il se fait un jour interpeller par un SDF alors qu'il joue dans la rue : « Hey Walkin Cane... » (Hé, toi qui marche avec une canne...). Il gardera ce sobriquet même si, depuis, une opération l'a « libèré » de sa jambe malade.
Austin enregistre son premier album en 1996. Il en réalisera cinq autres dont « Murder of a Blues singer » inspiré d'une longue conversation avec Robert Jr Lockwood, dont le beau-père, qui n'était autre que le légendaire Robert Johnson, avait fini assassiné.
Austin Walkin Cane, c'est quelque 300 concerts par an, en clubs, dans les festivals, les coins de trottoir. Il parcourt le monde et écume les Etats-Unis de son blues « roots », la plupart du temps en solo acoustique, avec sa seule guitare en main.
Sa musique, puisée dans les profondeurs du genre, s'exprime dans sa guitare slide, ses compositions et son chant puissant. Sa musique est un mélange harmonieux entre modernité et tradition qui reprend et transcende l'héritage des troubadours du Blues du Delta, de Memphis et de Chicago jusqu'aux musiciens de Bourbon Street à la Nouvelle-Orléans.
Austin est assurément l'une des voix les plus vibrantes et passionnantes du blues acoustique, un baryton riche à la voix rauque rappelant parfois Tom Waits.
L'écouter, c'est devenir passager du légendaire Illinois Central Railroad. Tel un voyage au coeur des Etats-Unis, nous embarquerons à Chicago jusqu'à La Nouvelle-Orléans, en passant par le sud profond du delta du Mississippi, Memphis, Clarksdale et Bentonia.
Austin Walkin Cane nous vient de Cleveland dans l'Ohio. Atteint d'une malformation de naissance, il se fait un jour interpeller par un SDF alors qu'il joue dans la rue : « Hey Walkin Cane... » (Hé, toi qui marche avec une canne...). Il gardera ce sobriquet même si, depuis, une opération l'a « libèré » de sa jambe malade.
Austin enregistre son premier album en 1996. Il en réalisera cinq autres dont « Murder of a Blues singer » inspiré d'une longue conversation avec Robert Jr Lockwood, dont le beau-père, qui n'était autre que le légendaire Robert Johnson, avait fini assassiné.
Austin Walkin Cane, c'est quelque 300 concerts par an, en clubs, dans les festivals, les coins de trottoir. Il parcourt le monde et écume les Etats-Unis de son blues « roots », la plupart du temps en solo acoustique, avec sa seule guitare en main.
Sa musique, puisée dans les profondeurs du genre, s'exprime dans sa guitare slide, ses compositions et son chant puissant. Sa musique est un mélange harmonieux entre modernité et tradition qui reprend et transcende l'héritage des troubadours du Blues du Delta, de Memphis et de Chicago jusqu'aux musiciens de Bourbon Street à la Nouvelle-Orléans.
Austin est assurément l'une des voix les plus vibrantes et passionnantes du blues acoustique, un baryton riche à la voix rauque rappelant parfois Tom Waits.
L'écouter, c'est devenir passager du légendaire Illinois Central Railroad. Tel un voyage au coeur des Etats-Unis, nous embarquerons à Chicago jusqu'à La Nouvelle-Orléans, en passant par le sud profond du delta du Mississippi, Memphis, Clarksdale et Bentonia.
Il sera accompagné par l'un des harmonicistes les plus réputés de l'hexagone, Vincent Bucher. Nominé aux Grammy Awards 2013 avec le groupe Heritage Blues Orchestra, désigné meilleur harmoniciste français à deux reprises (Trophées France Blues), Vincent Bucher est reconnu internationalement pour son talent. Cela l'a mené à collaborer aux Etats-Unis avec de grandes figures du blues : Louisiana Red, Eddie C. Campbell, Jimmy Johnson, Lurrie Bell, John Primer, Billy Branch, etc. font appel à lui pour ses qualités de musicien, mais également de producteur-arrangeur. Ouvert à d'autres horizons musicaux, Vincent Bucher a tourné, enregistré, avec des artistes aussi divers que CharlElie Couture, Paul Personne, Bill Deraime, Boubacar Traoré, Tao Ravao. Ces collaborations l'ont mené sur les grandes scènes et festivals du monde entier.
À la batterie, Patrick Cassotti est un autodidacte depuis trente-cinq ans. Il manie les baguettes dans tous les styles du jazz au funk, en passant par la chanson française, le blues, la country et le reste. Il a joué avec Claude Nougaro, Jacques Higelin, tourné deux ans avec Joël Dayde et Daniel Guichard. On ne compte plus les enregistrements auxquels il a participé ni ses passages télé et radio.
C'est à l'âge de seize ans que Fred Jougls se met à la basse. En 1995, il part à New-York jouer et enregistrer un album avec les Cloportes. En 1998, il rencontre Jeff Zima, avec lequel il restera douze ans. Avec lui, il acquièrt tout son jeu de bassiste et contrebassiste de blues. Il enregistre aussi cinq albums et multiplie les rencontres : Dave Goodman, Matthieu Boré... En 2010, il participe à la première tournée de Big Daddy Wilson en France. Il continue dans cette voie accompagnant des noms comme Terry Harmonica Bean, Shar Baby, Ron Hacker, L.R Phoenix, Sean Carney, Jonn Richardson. En décembre 2012, il rejoint le groupe French Blues Explosion et partage depuis 2018 les scènes avec d'autres musiciens, comme Ike Cosse, Steve Clayton... Austin W.Cane cette année ou Sandra Hall l'an passé !
À la batterie, Patrick Cassotti est un autodidacte depuis trente-cinq ans. Il manie les baguettes dans tous les styles du jazz au funk, en passant par la chanson française, le blues, la country et le reste. Il a joué avec Claude Nougaro, Jacques Higelin, tourné deux ans avec Joël Dayde et Daniel Guichard. On ne compte plus les enregistrements auxquels il a participé ni ses passages télé et radio.
C'est à l'âge de seize ans que Fred Jougls se met à la basse. En 1995, il part à New-York jouer et enregistrer un album avec les Cloportes. En 1998, il rencontre Jeff Zima, avec lequel il restera douze ans. Avec lui, il acquièrt tout son jeu de bassiste et contrebassiste de blues. Il enregistre aussi cinq albums et multiplie les rencontres : Dave Goodman, Matthieu Boré... En 2010, il participe à la première tournée de Big Daddy Wilson en France. Il continue dans cette voie accompagnant des noms comme Terry Harmonica Bean, Shar Baby, Ron Hacker, L.R Phoenix, Sean Carney, Jonn Richardson. En décembre 2012, il rejoint le groupe French Blues Explosion et partage depuis 2018 les scènes avec d'autres musiciens, comme Ike Cosse, Steve Clayton... Austin W.Cane cette année ou Sandra Hall l'an passé !
Les musiciens
Austin Walkin' Cane : chant, guitare
Vincent Bucher : harmonica
Patrick Cassoti : batterie
Fred Jouglas : contrebasse
Vincent Bucher : harmonica
Patrick Cassoti : batterie
Fred Jouglas : contrebasse
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